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DETAILS DE LA TENUE DE LA GARDE PERSONNEL DU CHEF DE L'ETAT
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Reconstitution Gendarmerie Sud Est :: RGSE (Reconstitution Gendarmerie Sud Est) :: RUBRIQUE GENERALE :: BIBLIOTHEQUE ET FORUMS GENDARMERIE
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DETAILS DE LA TENUE DE LA GARDE PERSONNEL DU CHEF DE L'ETAT
LA GRANDE TENUE DE SERVICE D'ORDRE :
En 1941, elle ne comporte pas le veston de cuir noir, non encore livré. Les insignes de casque n'ont pas non plus été livrés et les gendarmes arborent un casque dépourvu de tout attribut. Seules les patte de collets et le ceinturon suffisent à différencier la nouvelle formation. Commune aux officiers et sous-officiers adaptée de l'uniforme des tropes motorisés, elle est revêtue à l'occasion de prise d'arme. Ses élément constitutifs sont :
Casque modèle 1935 ds unités motorisées, chemise blanche, cravate noire, gilet de cuir (éventuellement sous le veston), veston de cuir noir galonné sur la seule épaule gauche, aiguillettes, ceinturon blanc à plaque chromée, gants blancs à manchette, culotte, bottes, armes.
LA PETITE TENUE DE SERVICE D'ORDRE :
Héritée de l'uniforme des unités blindées et motorisées de la gendarmerie, elle est portée à l'occasion du service de garde et des prises d'armes organisées hors la présence du public. Ses éléments constitutifs sont :
Casque modèle 1935 des unités motorisées, chemise bleue, et cravate noire, veston cuir fauve à pattes de galonnage, gilet de cuir (éventuellement sous le veston), ceinturon de cuir noir à plaque chromée, étui à pistolet et cartouchière, gants blancs à manchette, culotte, jambières anglaises et brodequins, pistolet et sabre (officiers) ou pistolet et fusil.
LA TENUE DE JOUR :
Revêtue à l'occasion de service d'honneur et de protocole, la tenue jour est portée à partir de 1942, après introduction de la tunique. Elle est identique à la tenue de garde d'honneur sauf que le chapeau est remplacé par le képi ; la tenue peut être revêtue avec une cape (officier), une pèlerine (sous-officier). Le port de la pèlerine est dans ce cas incompatible avec le port du fusil.
LA TENUE DE VILLE :
Elle est portée à l'occasion de sorties ou de certains événements de la vie courante : entretiens auprès des chefs hiérarchiques, notation....
Elles se compose des éléments suivants :
Képi, chemise blanche et cravate noire, vareuse, ceinturon de cuire noir à plaque chromée, gants fauves, pantalon et bottines. L'hiver, le manteau est revêtu su la vareuse et les gants fauves sont remplacés par des gants fourrés. En aucun cas, le ceinturon ne se porte avec le manteau.
LA TENUE DE SERVICE COURANT :
Elle est tout simplement la tenue de ville dans laquelle la chemise blanche est remplacée par la chemise bleue. Elle est portée par les militaires des compagnies les jours instruction et de repos. Les personnels de l'état-major portent, quant à eux, plus volontiers une tenue kaki (vareuse et pantalon de tenue de campagne) pourvue ou non des attributs de la garde personnelle, avec u ceinturon à plaque chromée.
LA TENUE DE QUARTIER :
c'est une tenue allégée, dérivée de la petite tenue de service d'ordre. Elle est porté par les plantons de service à l'intérieur de l'hôtel du Parc., ainsi que par les militaires d'intervention, de repos sur place entre deux factions de sentinelles. Elle est aussi la tenue des personnels à l'instruction. Elle se caractérise par le port du képi à la place du casque et permet, si les circonstances l'exigent, de revenir rapidement à la petite tenue de service d'ordre. Fin août 1943, les compagnies sont dotées d'un bonnet de police. Celui-ci est une coiffure de repos portée au quartier ou hors la vue du public. Il est à noter que seuls les officiers portent les botes avec le veston de cuir fauve.
LA TENUE DE SENTINELLE :
C'est la petite tenue de service d'ordre complétée par des effets destinées à protéger les factionnaires"en service de guérite" des rigueurs du vent glacial. Le gilet de cuir fauve porté sous le veston de cuir, trouve là toute son utilité. Un cape de sentinelle ou "manteau de guérite", des gants fauves fourrés et un chèche complètent l'équipement. De peu de décorum, cette tenue n'est pas habituellement portée que de nuit. La cape n'est agrafée que dans sa partie supérieurs, permettant d'accéder à l'étui de pistolet ou à la cartouchière.
LA TENUE LÉGÈRE D'ÉDUCATION :
Elle est celle de l'armée d'armistice, mise en place en 1941, et se compose d'une chemisette et d'une culotte courte kaki clair, d'un chandail kaki, d'une ceinture en tissu élastique et d'une paire d'espadrilles La notice technique prévoit qu'un écusson de poitrine permet de différencier les armes d'appartenance. La garde personnelle et la gendarmerie à laquelle elle appartient, n'en possède pas. C'est pourquoi afin d'affirmer leur appartenance. Les membres des équipes de sport de la garde personnel adoptent un signe distinctif sous la forme d'une patte de collet de vareuse cousue sur la manches gauches de la chemisette. Celle-ci est soit une patte pentagonale, soit un rectangle de drap, sorti brut du magasin et non encore transformé en patte de collet.
LA TENUE DE GARDE D'HONNEUR :
Distribuée à partir de la mi-4, la tenue, dont la tunique fabriquée par les Es Bayard, fut peu portée car les pelotons d'honneurs étaient constitués " à la demande à partir des gendarmes les plus grands en taille, pris dans l'ensemble des pelotons". La tunique de garde d'honneur est commune aux officiers, gradés et gendarmes.Ses éléments constitutifs sont :
Le chapeau bicorne, la tunique à col droit, les tresses ou épaulettes et aiguillettes, le ceinturon blanc à plaque chromée, les gants blancs, le pantalon, les bottines, éventuellement l'arme, et de réceptions à l'intérieur des édifices publics. Distribuée en 1942, elle est peu portée. Sa forme fut introduite en 1885 et dérive tant de la tunique de la garde de Paris que de la tunique de gala modèle 1931 des officiers d'avants guerre.
En 1941, elle ne comporte pas le veston de cuir noir, non encore livré. Les insignes de casque n'ont pas non plus été livrés et les gendarmes arborent un casque dépourvu de tout attribut. Seules les patte de collets et le ceinturon suffisent à différencier la nouvelle formation. Commune aux officiers et sous-officiers adaptée de l'uniforme des tropes motorisés, elle est revêtue à l'occasion de prise d'arme. Ses élément constitutifs sont :
Casque modèle 1935 ds unités motorisées, chemise blanche, cravate noire, gilet de cuir (éventuellement sous le veston), veston de cuir noir galonné sur la seule épaule gauche, aiguillettes, ceinturon blanc à plaque chromée, gants blancs à manchette, culotte, bottes, armes.
LA PETITE TENUE DE SERVICE D'ORDRE :
Héritée de l'uniforme des unités blindées et motorisées de la gendarmerie, elle est portée à l'occasion du service de garde et des prises d'armes organisées hors la présence du public. Ses éléments constitutifs sont :
Casque modèle 1935 des unités motorisées, chemise bleue, et cravate noire, veston cuir fauve à pattes de galonnage, gilet de cuir (éventuellement sous le veston), ceinturon de cuir noir à plaque chromée, étui à pistolet et cartouchière, gants blancs à manchette, culotte, jambières anglaises et brodequins, pistolet et sabre (officiers) ou pistolet et fusil.
LA TENUE DE JOUR :
Revêtue à l'occasion de service d'honneur et de protocole, la tenue jour est portée à partir de 1942, après introduction de la tunique. Elle est identique à la tenue de garde d'honneur sauf que le chapeau est remplacé par le képi ; la tenue peut être revêtue avec une cape (officier), une pèlerine (sous-officier). Le port de la pèlerine est dans ce cas incompatible avec le port du fusil.
LA TENUE DE VILLE :
Elle est portée à l'occasion de sorties ou de certains événements de la vie courante : entretiens auprès des chefs hiérarchiques, notation....
Elles se compose des éléments suivants :
Képi, chemise blanche et cravate noire, vareuse, ceinturon de cuire noir à plaque chromée, gants fauves, pantalon et bottines. L'hiver, le manteau est revêtu su la vareuse et les gants fauves sont remplacés par des gants fourrés. En aucun cas, le ceinturon ne se porte avec le manteau.
LA TENUE DE SERVICE COURANT :
Elle est tout simplement la tenue de ville dans laquelle la chemise blanche est remplacée par la chemise bleue. Elle est portée par les militaires des compagnies les jours instruction et de repos. Les personnels de l'état-major portent, quant à eux, plus volontiers une tenue kaki (vareuse et pantalon de tenue de campagne) pourvue ou non des attributs de la garde personnelle, avec u ceinturon à plaque chromée.
LA TENUE DE QUARTIER :
c'est une tenue allégée, dérivée de la petite tenue de service d'ordre. Elle est porté par les plantons de service à l'intérieur de l'hôtel du Parc., ainsi que par les militaires d'intervention, de repos sur place entre deux factions de sentinelles. Elle est aussi la tenue des personnels à l'instruction. Elle se caractérise par le port du képi à la place du casque et permet, si les circonstances l'exigent, de revenir rapidement à la petite tenue de service d'ordre. Fin août 1943, les compagnies sont dotées d'un bonnet de police. Celui-ci est une coiffure de repos portée au quartier ou hors la vue du public. Il est à noter que seuls les officiers portent les botes avec le veston de cuir fauve.
LA TENUE DE SENTINELLE :
C'est la petite tenue de service d'ordre complétée par des effets destinées à protéger les factionnaires"en service de guérite" des rigueurs du vent glacial. Le gilet de cuir fauve porté sous le veston de cuir, trouve là toute son utilité. Un cape de sentinelle ou "manteau de guérite", des gants fauves fourrés et un chèche complètent l'équipement. De peu de décorum, cette tenue n'est pas habituellement portée que de nuit. La cape n'est agrafée que dans sa partie supérieurs, permettant d'accéder à l'étui de pistolet ou à la cartouchière.
LA TENUE LÉGÈRE D'ÉDUCATION :
Elle est celle de l'armée d'armistice, mise en place en 1941, et se compose d'une chemisette et d'une culotte courte kaki clair, d'un chandail kaki, d'une ceinture en tissu élastique et d'une paire d'espadrilles La notice technique prévoit qu'un écusson de poitrine permet de différencier les armes d'appartenance. La garde personnelle et la gendarmerie à laquelle elle appartient, n'en possède pas. C'est pourquoi afin d'affirmer leur appartenance. Les membres des équipes de sport de la garde personnel adoptent un signe distinctif sous la forme d'une patte de collet de vareuse cousue sur la manches gauches de la chemisette. Celle-ci est soit une patte pentagonale, soit un rectangle de drap, sorti brut du magasin et non encore transformé en patte de collet.
LA TENUE DE GARDE D'HONNEUR :
Distribuée à partir de la mi-4, la tenue, dont la tunique fabriquée par les Es Bayard, fut peu portée car les pelotons d'honneurs étaient constitués " à la demande à partir des gendarmes les plus grands en taille, pris dans l'ensemble des pelotons". La tunique de garde d'honneur est commune aux officiers, gradés et gendarmes.Ses éléments constitutifs sont :
Le chapeau bicorne, la tunique à col droit, les tresses ou épaulettes et aiguillettes, le ceinturon blanc à plaque chromée, les gants blancs, le pantalon, les bottines, éventuellement l'arme, et de réceptions à l'intérieur des édifices publics. Distribuée en 1942, elle est peu portée. Sa forme fut introduite en 1885 et dérive tant de la tunique de la garde de Paris que de la tunique de gala modèle 1931 des officiers d'avants guerre.
Dernière édition par Adj GERBER le Dim 6 Jan - 23:45, édité 1 fois
Claude membre bienfaiteur- Messages : 324
Date d'inscription : 24/12/2018
Age : 65
Localisation : Luberon
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